Les hôtels, en Tunisie, ça se vend et se revend parfois en moins de temps qu'il n'en faut pour lire
" Guerre et Paix"( qui, on vous le rappelle, n'est pas vraiment une lecture de plage). Bref, lorsque l' Iberostar a déménagé vers d'autres sables, c'est le groupe familial qui détient déjà les autres " hôtels Z" ( le Zita et le Zarzis) qui a donc décidé de reprendre et relooker l'infrastructure du Zephir. Ce qui donne aujourd'hui, à Souihel, le long de la route, et à 4 km de Zarzis-Centre, un ensemble de trois hôtels à se Zuccéder presque côte à côte : le Zita, le Zarzis et le Zephir . Avec, à chaque fois, le même topo : depuis la route des hôtels, une très longue entrée conduisant à des bâtiments éloignés puisque directement en bord de mer et, à cet endroit, de très belles plages en pente très douce. C'est d'ailleurs là un des atouts du Zephir : de par son implantation, il ignore tout du trafic automobile, le bâtiment principal ( lobby, etc) jouant un peu le rôle de barrière. Autre atout: sa taille. Plus humaine, plus reposante. Avec ses 338 chambres, le Zephir est bien plus convivial que son voisin le Zita, hôtel certes très réussi mais qui fait tout de même un chouia usine à touristes lorsque les centaines de vacanciers se bousculent de concert de fourchette au réfectoire...
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